La fabrique des fictions

La Fabrik est un projet qui souhaite parrainer les différentes formes d'art et à professionnaliser le secteur artistique, en particulier les arts de la scène, en soutenant la création, la production et la diffusion. L'objectif est d'intégrer les pratiques artistiques, en particulier le théâtre, dans la vie quotidienne pour les rendre accessibles à tous, valoriser le patrimoine et encourager l'émancipation et l'épanouissement.
"La Fabrique de fictions” souhaite combiner théâtre et patrimoine urbain dans les banlieues de Lomé. Le projet cherche également à décentraliser l'activité culturelle en proposant des ateliers d'écriture, des rencontres artistiques et la diffusion de spectacles de théâtre dans les banlieues pour rendre l'art plus accessible et rencontrer les publics éloignés.

https://www.youtube.com/watch?v=IPoF8CwkJUA


Aw Djigui

Créée en 2014, Street Movie encourage l’accès à la culture des populations vulnérables, dans une démarche engagée en faveur de l’égalité des chances et de la réduction de la pauvreté. Originellement créée afin de réduire les inégalités par la promotion du cinéma de rue, aujourd’hui l’association s’est développée autour de la valorisation de la culture malienne dans toute sa diversité.

« Aw Djigui » est un projet de soutien au développement d’une dynamique culturelle locale initiée par la création des “Journées Culturelles” de l’association Street Movie. Mis en place dans le quartier des 1008 Logements (en périphérie de Bamako), il vise à soutenir les initiatives locales, valoriser l’artisanat traditionnel, encourager l’entreprenariat et la formation professionnelle, notamment des jeunes femmes, pour leur autonomisation financière.


Graine d’espoir

Le CNA Burkina fait partie du CNA Afrique, un réseau d’associations présent dans 10 pays (Bénin, Burkina Faso, Cameroun, Centrafrique, Cote d’Ivoire, Togo, Mali, Niger, Sénégal et France). Il a pour devise : « Le cinéma pour tous, le cinéma partout. » Le CNA est spécialisé dans la communication pour le changement de comportement en privilégiant la culture comme vecteur de développement durable.

Au-delà de former les enfants issus des milieux défavorisés de Ouagadougou, aux techniques de tournage de films d’animation, le CNA va créer un cadre de formation et d’éducation à l’image. Accompagné par Slama Cinéma, structure belge experte en formation, le projet « Graine d’espoir » envisage aussi de former des formateurs. Les courts métrages réalisés refléteront le contexte et références culturels des enfants. Ils seront ensuite diffusés lors de 50 projections-débats.


Inno – Culture

Si l’ONG TIBI est engagée pour la formation et les créations artistiques aux profits des artistes en situation de handicap, elle participe également à des rendez-vous culturels internationaux. L’éducation, les arts de la scène et le développement communautaire constituent ses thématiques principales d’intervention.

« Initiation à l’Innovation Culturelle, Linguistique et d’Écriture chez la jeune fille dans la région Kara » souhaite sauvegarder et valoriser les pratiques endogènes des peuples du Nord Togo, à travers la valorisation de la jeune fille. Ainsi, 100 jeunes femmes de moins de 25 ans pourront développer leurs compétences culturelles (danses traditionnelles…). Elles s’intéresseront à leur langue maternelle (à son histoire et ses valeurs) et affûteront leur esprit critique lors d’un concours de rédaction. Le document produit sera diffusé sur YouTube, tout comme les 50 histoires racontées en langue maternelle et traduites en français et anglais.


Plastik Toxik Partout - Pour un monde d’éco-artivistes

Famu DANSE croit au pouvoir transformateur de la culture et de l’art, tant sur le plan sociétal qu’économique. Ainsi son projet phare « Parole de Corps » vise l’inclusion socio-professionnelle des jeunes malentendants par les arts de la scène, et leur permet de participer à des créations professionnelles, en tant que danseurs et comédiens, diffusées au Mali et au-delà.

« Plastik Toxik Partout » est un projet engagé qui met les artistes en capacité d’intégrer les questions environnementales à leurs créations. Il contribue à renforcer le rôle de l’artiste et la place de l’art dans l’éveil des consciences. Le projet rassemble des éco-artivistes qui dénoncent la pollution et alertent le grand public. À l’issue du projet, 53 danseurs (24 filles, 29 garçons, dont 41 sourds) auront développé leur pratique de manière à y intégrer la notion d’écologie. Les 9 nouvelles créations, déambulations, installations, toucheront plus de 8000 personnes.


Africa SIMPLY THE BEST et ANKATA COACHING

Ankata signifie « en avant » en dioula. Situé à Bobo-Dioulasso, cet espace associatif a été pensé et construit comme un laboratoire créatif, un carrefour du lien social et citoyen, un lieu de travail et de vie, d’expérimentations de tous les possibles, une exhortation à avancer et à réinventer son environnement.

Africa SIMPLY THE BEST et ANKATA COACHING fonctionnent comme une plateforme de valorisation des jeunes créateurs des arts de la scène, dans une démarche affirmée de partage des connaissances. La première étape de ce programme consiste au repérage des talents contemporains africains, à leur formation et à leur confrontation sur une même scène, en vue de leur promotion et positionnement à l’avant-garde du spectacle vivant.


Cinéma du fleuve

Le GSCD a pour ambition la mise en œuvre opérationnelle de projets de développement par la culture en grande ruralité africaine. Il s’investit dans la préservation des patrimoines artistiques, la réinterprétation des mythologies, le dialogue des cultures et l’amitié entre les peuples. Ses membres sont des artistes ou des professionnels du monde de la culture et du développement.

Pour éduquer les jeunes générations à l’image, pour permettre aux populations locales de voir des films dans de bonnes conditions, mais aussi pour créer du lien social et des espaces de réflexion tout en soutenant le cinéma africain, le projet « Cinéma du Fleuve » propose d’amener le 7e art en zone rurale. La construction d’un cinéma plein air et d’une salle pédagogique à Mboumba permettra la diffusion d’œuvres cinématographiques africaines comme celle de films du patrimoine international.


Projet de création, production et diffusion d’œuvres théâtrales et musicales à travers le numérique, les lieux de cultures et les écoles primaires et secondaires dans deux communes à faible accès à l’offre culturelle au Bénin

Théâtre d’Afrique est une ONG qui promeut les échanges interculturels pour le développement de l’Homme et son intégration dans la société. Elle mène également des actions de recherche, création artistique, sensibilisation, communication pour le changement de comportement, préservation du patrimoine et formation.

Ce projet se donne l’ambition de promouvoir la culture dans les communes défavorisées du Bénin que sont Bonou et Avrankou. En diffusant un spectacle musico-théâtral à travers 10 centres de cultures, 45 écoles primaires et secondaires, et via les canaux numériques, l’ONG souhaite aussi éduquer à la consommation d’œuvres culturelles en ligne. En termes de valeur ajoutée, la cohésion sociale s’en trouve favorisée et le droit aux loisirs est assuré aux populations de ces régions enclavées.


Trajectoire

Le Centre de Développement Chorégraphique « La Termitière » se veut un lieu emblématique de la création chorégraphique contemporaine africaine, garant de l’excellence artistique. Ici, la création se pense et se réalise toujours dans un objectif de diffusion des œuvres et de professionnalisation des artistes.

Le projet « Trajectoire » s’inscrit dans la valorisation des créations des jeunes chorégraphes de l’Afrique de l’Ouest à travers l’importance du numérique et du réseautage. Au terme du projet, 11 jeunes danseurs-chorégraphes et 5 administrateurs culturels auront bénéficié d’une formation en création, gestion et maitrise des outils numériques, et 5 œuvres seront produites et diffusées sur les marchés sous-régionaux et internationaux.


Accès gratuit à la culture pour tous au Bénin

L’association ADAV-NORD BENIN s’est fixé comme mission de multiplier, consolider, professionnaliser et diversifier les initiatives créatives pour, d’une part, permettre aux arts plastiques de jouer leur rôle libérateur des expressions et interrogations de la société, et d’autre part, pour réunir les meilleures conditions de création pour les artistes.

Ce programme de formation, de recherche, de création, puis de promotion en audiovisuel, destiné à 15 jeunes plasticiens dont 8 femmes, se développe en trois grandes étapes : 1/ la formation « photographie d’art + retouche » et « vidéo d’art + montage » ; 2/ l’accompagnement des 15 participants dans la visibilité de leurs créations (communiqués de presse) ; 3/ l’organisation d’activités de découvertes artistiques auprès de 250 élèves et 150 enfants démunis.